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Catégorie :
Blog Actualité
Date de création :
24.02.2011
Dernière mise à jour :
30.01.2014

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UNE PHOTOGRAPHE DE ‘’NOTRE VOIE’’ BATTUE A SANG

UNE PHOTOGRAPHE DE ‘’NOTRE VOIE’’ BATTUE A SANG

Publié le 11/10/2011 à 10:38 par infosivoire Tags : photo bonne photos travail moi

 


La liberté de la presse est lourdement menacée en Côte d'Ivoire. Une photographe de presse du quotidien ‘’Notre Voie’’, l’organe d’information du front populaire ivoirien (FPI), parti fondé par Laurent Gbagbo, a été battue à sang, le samedi 08 Octobre 2011, dans la commune de Koumassi, au quartier ‘’Kouassi campement’’, au lieu du meeting du FPI qui n’a pu se tenir à cause des jeunes du RDR qui s’y sont opposés. Cette agression sauvage a eu lieu aux environ de 16 heures par ces jeunes assaillants du RDR. Notre consœur a été attaquée pendant qu'elle couvrait ce meeting, autorisé, du Front Populaire Ivoirien (FPI) à ‘’Koumassi Campement’’ (sous quartier, précaire, de ce quartier populaire d'Abidjan). Elle s'en est sorti avec l’arcade sourcilière grandement ouverte, des contorsions sur tout le corps, la cheville déplacée et son appareil photo endommagé. Ce qui est curieux et incompréhensif, c’est que cette agression survient dans un contexte de réconciliation et de pardon, prôné par les nouvelles autorités ivoiriennes majoritairement issues du RDR. « Je m’apprêtais à prendre des photos du meeting lorsqu’un groupe de jeunes qui saccageait les installations du meeting, brisait les vitres des véhicules des organisateurs de la manifestation et qui scandait des slogans favorables au président Alassane Ouattara à fait irruption sur les lieux. L’un d’eux a tenté de me déposséder de mon matériel de travail (appareil photo). Je lui ai dit que je suis journaliste, tout en m'opposant à lui. Il m'a donné un violant coup de point au visage qui m'a déséquilibré. Une dame m'a prise par les cheveux et m'a entrainé vers ce groupe de jeunes tans dis qu'un troisième, accroupi sur moi, me donnait des coups de point au visage et sur tout le corps. J'ai pu me dégager de leur emprise grâce à des personnes de bonne volonté. J'ai été évacué des lieux par un ami qui m’a pris dans son véhicule qui a d'ailleurs été pris pour cible. Un projectile a fait volé en éclat sa pare brise arrière pendant que nous nous éloignions du lieu de mon calvaire. Je me suis rendu compte quelque temps après que j’avais du sang sur mes vêtements. J’avais l’arcade sourcilière ouverte d’où le sang coulait abondamment », raconte la victime dont nous taisons volontairement l'identité pour sa sécurité.